When David-Olivier Gascon walked into one of his journalism classes at the Université de Montréal, he couldn’t help but notice many of the students around him spoke with a French accent.
« Having them in the classroom often influences debates,”
When David-Olivier Gascon walked into one of his journalism classes at the Université de Montréal, he couldn’t help but notice many of the students around him spoke with a French accent.
« Having them in the classroom often influences debates,”
Père Noël, Pôle Nord, Canada, HOH OHO : une adresse que la plupart d’entre nous avons un jour écrite, au crayon de couleur et le plus sérieusement du monde, sur une enveloppe contenant l’une des toutes premières lettres que nous allions envoyer dans notre vie. Cette adresse, loin de mener au Pôle Nord, mène à un endroit presqu’aussi magique : entre les mains d’employés et de retraités de Postes Canada devenus, l’espace du temps des Fêtes, des lutins-bénévoles.
Le temps des fêtes, c’est le temps de festoyer, de s’amuser et surtout de partager. Pour plusieurs, c’est donc le moment de donner, de son énergie et de son temps, pour rendre plus beau le Noël de familles qui ont moins de chance. Rencontre avec des bénévoles qui ont le cœur à la fête.
Pour Claude-Henri Breton, tout a commencé le 30 juin 1995 à 8h15 du matin. « Je me souviens m’être regardé dans le miroir et m’être demandé : Pourquoi essayer de cacher ma nature profonde? J’ai alors décidé d’arrêter de me raser et d’être moi-même », explique ce barbu sympathique qui pratique le « métier » de Père Noël depuis 16 ans.
Au cœur du Vieux-Montréal, le long de la rue Saint-Paul, les trottoirs sont minutieusement balayés aux petites heures du matin, les vitres des commerces brillent et le calme règne. Ce n’est pas à la ville qu’il faut dire merci, mais à Gaétan, 54 ans, connu dans le coin comme l’ange du Vieux-Montréal.