Pendant ces deux années de recherche – interrompues par de fort nombreux projets – l’auteur a eu accès à près de 4000 pages d’archives et de photos dénichées et étudiées à la Société du parc Jean-Drapeau, aux archives nationales, fédérales et provinciales, ainsi qu’à Radio-Canada.
«Écrire un livre comme celui-là, c’est comme faire un casse-tête, dit-il. Tu dois aller chercher tous les morceaux et t’organiser pour qu’ils aillent bien ensemble tout en racontant une histoire.